J’ai fait mon premier road-trip cet été, avec environ 2500 km en 11 jours sur les routes de France, principalement sur le réseau secondaire et avec quelques rares liaisons autoroutières :
- Paris–Bourges par Melun, Nemours, Gien 235 km, 3 h 12 min
- Bourges–Chalon-sur-Saône par Nevers 245 km, 4 h 31 min
- Chalon-sur-Saône–Sallanches par Lons-le-Saunier, Oyonnax, Annemasse 248 km, 4 h 2 min
- Sallanches–Gap par Megève, Alberville, Grenoble et la route Napoléon 230 km, 3 h 48 min
- Gap–Marseille par la route Napoléon jusqu’à Malijai puis Manosque, Aix-en-Provence 199 km, 3 h 20 min
- Marseille–Béziers par Martigues, Arles et le parc naturel régional de Camargue, Aigues-Mortes, Montpellier 272 km, 3 h 53 min
- Béziers–Toulouse par le parc naturel régional du Haut-Languedoc et Castres 193 km, 3 h 11 min
- Toulouse–Limoges par Montauban, Cahors, Brive-la-Gaillarde 300 km, 4 h 14 min
- Limoges–Bourges par La Souterraine, La Châtre, Châteauneuf-sur-Cher 194 km, 2 h 59 min
- Day off à Bourges
- Bourges–Paris par Romorantin-Lanthenay, Blois, Châteaudun, Étampes 317 km, 5 h 0 min
Équipement pilote
- Casque HJC RPHA ST (2016) avec visière transparente
- Montage MotoRadds pour mentonnière
- Système de communication Sena 3S Universal
- Veste Dainese Carve Master 2 avec dorsale Manis D1
- Gants Dainese Mig C2 sur la majeure partie du trajet et gants Carbon D1 Long pour les journées pluvieuses.
- Pantalon Dainese Tempest 2 avec sous-couche Held 3D-Skin Base ou jeans Furygan 01 Stretch
- Bottes AlpineStars Belize
J’avais également mes gants Nembo au cas où et que j’ai essayé sous la pluie, mais qui se sont révélés horribles à porter sous cette météo chaude et humide d’été.
J’avais prévu de faire le trajet en pantalon Tempest et sous-couche Held les jours
pluvieux et en jeans Furygan les jours chauds et ensoleillés (ce que j’ai fait
le second jour), mais ai trouvé ce dernier inconfortable avec la sueur tout en
offrant une protection moindre.
Une blessure au genou le troisième jour a achevé de me covaince, me valant
quelques points de suture (et pas de plus, sans doute sans doute grace au
pantalon Tempest que je ne remercirai jamais assez).
Pour plus de protection, j’ai donc remplacé durant tout le reste du voyage la
sous-couche Held par le jeans Furygan sous le pantalon Tempest, quelque soit la température.
Vous trouverez en moi un fervent défenseur du matériel de protection.
Bagagerie
- Sac de randonnée Decathlon Quechua Forclaz 60L (vieux modèle de 10 ans) avec couvre sac, pour le linge propre, le nécessaire de toilette et mon ordinateur portable
- Louis Roll Bag, 50L fixé avec deux tendeurs Oxford Bungee Xtra, pour le linge sale, un sac de couchage, une tente, les gants de rechange, mon drone, un petit sac à dos (sac à eau Decathlon Rockrider 5L d’il y a 10 ans) et une paire de chaussure pour se balader en ville
- Sacoche de réservoire SW-Motech EVO Daypack, 5-9L, pour la petite électronique et batteries
- Top Case Yamaha 39L, avec une combinaison anti-pluie, un kit anti-crevaison, du linge sale et un appareil photo reflex dans un sac photo.
Matériel d’enregistrement
- Caméra GoPro HERO 9 Black avec module médias et 4 batteries
- Caméra GoPro HERO 7 Silver pour les vues chassis
- Drone DJI Mini 2
- Harnais Chesty
- Fixation de tube sur les crash bars
Le troisième jour sous une pluie batante, j’ai faillit perdre la HERO 9 quand la fixation MotoRadds s’est décolée du casque, seul le câble micro fixé au casque retenant alors la caméra. Sur le reste du trajet, j’ai donc utilisé la GoPro sur harnais de poitrine ou fixées aux crash bars à la place de la HERO 7.
J’ai aussi eu plusieurs problèmes avec la GoPro et son module médias, me faisant perdre plusieurs heures de rushes. Je pense que la batterie ou la carte SD se baladaient sous le couvercle du module bien que je n’ai pu confirmer le problème.